Qu’est ce que je fais ?
Qu’est ce que je prends comme décision ?
Est ce que je devrais attendre ?
Est ce que je lui laisse encore une chance ?
Est ce que j’y crois encore ?
Est ce que je peux sauver tout ça ?
Est ce que mon cœur va supporter tout ça ?

Je ne sais plus où j’en suis.
J’essaye de faire face, j’essaye de vivre, j’essaye de me lever le matin et trouver un but pour la journée, une activité, quelque chose pour m’occuper pour ne pas penser à toi.
C’est difficile. Très difficile.
Dans le moindre recoin de la maison se trouve un objet à toi, une odeur à toi, un signe de ton passage, des photos, des souvenirs…

J’ai le cœur brisé à nouveau, à cause de ton silence interminable.

Je tiens.
Du moins j’essaye de tenir le plus longtemps possible…

Mais jusqu’à quand ?

Il n’y a pas un jour où je ne verse pas une larme, pas un seul.
Je suis fatigué, épuisé, brisé, par c’est multiples absences.
Je subis depuis bien trop longtemps.
Mais je n’arrive pas à oublier, à te laisser.
Je n’arriverais jamais a t’abandonner.
Parce que je suis folle amoureuse de toi.

Alors oui tu me fais énormément de mal, mais j’encaisse, j’ai pris l’habitude… c’est triste.

Ouvre ton cœur au miens,
Montre moi tes sentiments,
Parle moi à cœur ouvert,
Prouve moi que tu m’aimes,
Assume d’être avec moi,
J’attends que tu fasse le premier pas,
J’attends que tu nous donne une chance,
J’attends que tu prouve au monde que j’existe,
J’attends que tu me murmure un je t’aime.

Je suis la, je t’attends.
Reviens moi.
Je t’aime.

Je suis pour la première fois de ma vie au chômage.
Je rêvais de ça depuis longtemps car mon emploi de ne convenait plus…
Me voilà sur le marché du travail et je ne sais pas quoi faire.
J’ai besoin de changement !
Mais rien ne me conviens.
Rien ne me donne envie.
Je suis perdue.

Voilà 3 ans aussi que je partage la vie de quelqu’un, qui est la personne que je voulais depuis bien longtemps.
Des haut et des bas, comme tous les couples j’imagine…
Aujourd’hui, la goutte d’eau qui as fait déborder le vase.
Je suis patiente avec lui, je suis gentille, j’encaisse, mais je souffre en silence de quelques comportements qui m’agacent profondément.
Je me sent comme une plante verte.
Je n’existe pas, je passe en seconde plan, je suis invisible.
Je m’efforce à changer cela, mais il ne fait aucun effort…
Je l’ai mis au pieds du mur, mais ça me déchire le cœur, parce que c’est quitte ou double.
Et vu que je suis un chat noir depuis que je suis venue au monde … vous devinez où je veux en venir ?
Je vais tout perdre !

Alors j’enchaîne les déceptions, je m’ennuie la journée parce que je suis à la maison à rien faire, et arrive le week-end ou finalement tous mes amis profite de leurs petites familles, leurs enfants, et lorsque je vois cela, je suis jalouse !
Je suis jalouse de voir que je suis à des années lumières de leurs parfaites vies… et que moi je n’ai rien.
Pas de famille, pas d’activités, rien.
Et c’est pas faute d’essayer d’en avoir …

Qu’est ce que je vais devenir ?
Ou est ce que je vais ?
Est ce que je vais goûter au bonheur un jour ?
Est ce que j’aurais une famille ?

…

Tant de question ou je ne vois aucune réponse…
Je suis si triste.
Presque endeuillée de voir que je n’aurais jamais ce que je souhaite.
Est ce que je baisse les bras ? Malheureusement oui.

Je ne sais plus quoi faire !
Je ne sais plus quoi essayer !
Je ne sais plus rien.
C’est le vide.
Je suis démunie, détruite.

J’ai passé un week-end de folie.
J’ai rencontré de nouvelle personne formidable, j’ai rigolé, échangé, joué, et pleins d’autres choses.
J’ai vraiment apprécié ces moments. Ca faisait bien longtemps que je n’avais pas ressenti autant de joie.

Retour à la réalité.

Me voila assise sur mon canapé de nouveau, seule, sans aucune volonté de quoi que se soit.
A vrai dire j’ai l’envi de sortir, de flâner, mais je n’y vois aucun intérêt en étant seule.
Je n’aime pas la solitude, je n’aime pas me retrouver avec moi même.

Que faire ?

J’essaye de m’occuper : ménage, séries, films, activités manuelles et j’en passe …
Mais rien égaye ma fin de week-end.

Je sais ce qu’il me manque, toi.

J’ai beau trouver des choses a faire pour passer le temps, rien ne me conviens.
Parce que j’ai compris que finalement tu es la clé de mon bonheur.

Je pense à toi chaque minute, chaque seconde, chaque heure…

Tout me manque : ton sourire, ta peau, ton odeur, ta présence, tes câlins, ta voix…
Chaque jour, je m’imagine que peut-être tu vas me revenir.
Je m’invente carrément des scénarios !
Je me dis que tu vas venir me taper à la porte pour me faire une surprise, que tu vas m’appeler pour m’inviter à sortir...mais malheureusement je pense que je me fais des films.

Siannah ! arrête de regarder des films à l’eau de rose …

C’est quand l’on perd quelqu’un que l’ont se rend compte qu’elle comptait énormément dans notre vie.

Reviens moi.

Je t’aime.

Soit je mange jusqu’à ce que mon corps me dise stop.
Une sensation de bienêtre apparaît, mais elle est de courte durée. Je culpabilise ensuite.
Soit je ne mets rien à la bouche.
Je ne fais que boire, mais mon estomac cris quand même famine. Je mange alors l’équivalent d’un yaourt dans la journée. Je culpabilise ensuite.

En quelques années mon corps a changé.
Je n’aimais pas lorsque j’étais enrobé.
Je n’aimais pas lorsque j’étais amaigrie.

Pourquoi je me mets dans ces états ?

La vie tout simplement.
Elle est dure, elle ne me fait aucun cadeau.

J’essaye alors de me changer les idées, films, séries, ateliers créatifs, pâtisseries.
Mais je déteste être seule, j’ai besoin de me sentir entourée.
J’organise alors des soirées, des apéros, des sorties avec mes ami(es).
Ça me réchauffe le cœur de voir les gens que j’aime.
Puis vient le moment de rentrer à la maison. Je retrouve une maison sans bruit, sans âme, sans personne, sans vie.

La solitude n’est pas pour moi, j’angoisse à nouveau.

Je n’aurais jamais pu imaginer que tu prendrais autant de place dans mon cœur.

Plus les années passent et plus je vois la chance de t’avoir dans ma vie.

Grace à toi, j’ai quelqu’un qui m’accompagne dans mes épreuves, mes mésaventures, mes déceptions, mes angoissent, mes peurs, mes pleurs…

Tu es mon rayon de soleil, celle en qui j’ai le plus confiance sur cette terre.

Tu réponds toujours présente lorsque j’ai besoin de soutien et je t’aide à mon tour quand tu me lance un SOS.

Je te considère plus qu’une amie, plus qu’une meilleure amie, tu es une sœur.

Ecrire ces quelques phrases me met la larme à l’œil, parce que je pense que je pourrais difficilement vivre sans toi.

On a eu une seule grosse dispute au fil de notre amitié. Et les quelques jours de séparation m’ont paru une éternité.

J’ai perdu mes repères durant cette période, c’est à ce moment précis que j’ai compris que tu m’étais indispensable.

On peut qualifier ces quelques lignes comme une déclaration d’amour et de sincérité.

Les amies sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n’arrivent plus à se rappeler comment voler.

Je te souhaite une vie riche, belle et que tu réalises tous tes rêves.

Tu le mérite tellement.

Je t’aime

…

Je ne sais pas si cela va m’apporter une grande aide, mais j’essaye.
Mes pensées se bousculent, j’ai des idées noires.
Plus la vie avance, plus j’ai l’impression de passer à côté de celle-ci.
J’ai toujours eu ce sentiment d’insatisfaction, j’ai la sensation de me perdre chaque jour.
J’ai besoin de renouveau, je le sais. Mais je n’y arrive pas.
Depuis des années, je fais passer le bonheur des autres avant le mien.
« Suis-je bête ? »
C’est juste que je me nourris du bonheur des gens qui m’entoure, mais je laisse ma vie entre parenthèse du coup…
Je ne dis pas que je n’ai jamais était heureuse. Mais dès que je touche du doigt mes rêves les plus fous, ou bien la vie dont j’ai toujours voulu, tout s’effondre.

Je vais essayer de structurer tout cela :

Travail

Quand tu fini l’école, on te lance un « tu veux faire quoi comme métier ? ».
Pour ma part, je détestais l’école, d’ailleurs je n’avais jamais de bonne note. Et j’ai donc choisi par dépit un métier qui est certes stable, mais un métier où je ne m’épanoui pas.
Je suis quelqu’un qui a besoin d’échanger, d’interagir, de créer. Et je suis finalement derrière un bureau, un écran, tous les jours à me demander ce que je fais là. Les journées sont longues. Je m’ennuis. Heureusement que lorsque je passe la porte de la société à 18h00, je retrouve mes ami(es), mes centres d’intérêts. Je déteste mon travail, et j’ai hâte d’avoir le courage d’abandonner ce poste. Pour l’instant il me permet de payer mes factures, et je n’ai d’autre choix que jouer sur la sécurité.
Je travaille pour vivre, mais ne vit pas pour travailler.

Famille

Ma famille, que dire ?
Beaucoup de joie, mais beaucoup de peine. De temps en temps j’ai des beaux souvenirs qui refont surface, mais je n’arrive pas à garder ça en tête. Je pense qu’enfant je faisais abstraction de la réalité.
Une réalité avec beaucoup de conflit, des déchirements, des disputes.
J’ai une sœur qui est partie tôt de la maison. Je n’ai aucune affinité avec elle, c’est dur à dire. J’ai l’impression d’être fille unique. Je suis partie tôt également de chez mes parents, par parce que j’en avais envie mais parce que je n’ai pas eu le choix. J’ai une mère qui m’a balancé en pleine face un jour « alors tu es majeur, soit tu payes une partie du loyer, soit tu prends ton appartement ». Comment vous dire que j’ai préféré le second choix. Je suis devenu très vite autonome par la force des choses.
Suite à cela, tout a explosé, mes parents se sont déchirés. Je vous épargne les détails…
J’ai démarré ma vie d’adulte avec un petit studio, encore au lycée, et bien sûr avec un boulot pour pouvoir payer mon loyer. Honnêtement, c’était très dur. Je n’ai pas vécu ma vie d’étudiante comme tout le monde, j’avais des responsabilités, des factures, des devoirs.
Bizarrement, même si j’ai de la rancœur envers ma mère de m’avoir fait subir cela, je l’a remercie.
Parce que grâce à tout ça, j’ai appris à grandir, je me suis forgé un caractère, j’ai la valeur des choses et surtout la tête sur les épaules.
Si un jour j’ai l’immense chance d’avoir des enfants, je saurais quoi leur enseigner ou non par rapport à mon vécu.

Amour

Oulallala, pardon pour se soupir.

Ma meilleure amie vous direz que j’ai un cœur d’artichaut. Je tombe très vite amoureuse, je donne tout et surtout trop vite lorsque j’aime une personne. Je n’ai pas l’impression qu’une de mes conquêtes m’est aimé plus que ce que moi je l’ai aimé. En tout cas, aucun ne m’a fait ressentir ce sentiment. J’ai eu une vie amoureuse catastrophique.
Depuis maintenant quelques temps, j’ai une relation avec un homme qui pour moi à tout ce que je pouvais espérer chez une personne. Je me sens en sécurité et aimé. Je suis amoureuse de lui.
Vous connaissez le téléfilm « les feux de l’amour »  ? cette série qui dure depuis des années et des années ?
Même enfant, je me souviens regarder les épisodes avec ma mamie et j’ai 30 ans à ce jour…
C’est l’histoire de ma vie. Avec de l’amour, des drames, des histoires farfelues …
Je suis aussi amoureuse de l’amour, et j’ai l’espoir qu’une personne un jour me donne en retour l’amour que je lui porte. Mon entourage comprendra la signification de deux de mes tatouages « HOPE, LOVE ».
Nous avons démarré une relation dans un contexte compliqué, mais je pensais que l’amour triompherais. Ça c’est mon côté fleur bleue mais la réalité est tout autre.
Je mise sur cette relation parce que je sais au fond de moi qu’il est celui que j’attendais depuis toutes ces années. Je ne perdrais jamais espoir de vivre à ses côtés, fondé une famille et vivre enfin une vie heureuse.

Vous savez quoi ?
Ces confidences structurées de cette manière me font penser à une page en particulier dans des journaux : L’HOROSCOPE.

A suivre …